George Sand fut une grande épistolière. Elle écrivit plus de 25.000 lettres. Elle en fit même une forme littéraire en publiant Les Lettres d’un voyageur en 1835. L’une d’elles est adressée à François Rollinat, avocat à Châteauroux qu’elle considérait comme son âme sœur. Dans cette lettre, elle disserte sur l’un des grands maux du XIXe siècle, l’ennui, dont François Rollinat est l’une des victimes. Mais qui n’a pas connu l’ennui ? Qui ne s’en est pas vu chanter les vertus lorsqu’il était enfant ? Qui en cette période qui est la vôtre n’a pas été confronté à l’ennui ? George Sand nous en montre ici comment le surmonter et le transformer en un élément positif de notre existence. Et puis si la solution proposée par la romancière ne vous convient pas, pour tromper votre ennui, vous pouvez toujours lire du George Sand !